• J'suis trop heureuse

    Je crois que c'est le plus bel anniv' que j'ai jamais eu

    Des gens que j'aime, des cadeaux que j'aime

    Mon boss qui me fait un cheque de 150 euro en prime de stage en plus

    Et puis la fête,la fête et encore la fête..

    Bref j'vous aime les gens ! A dans une semaine !


  • Commentaires

    1
    Mardi 28 Août 2007 à 12:46
    bonjour
    passe une bonne semaine et profite bien..bisou
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    2
    Mardi 28 Août 2007 à 22:03
    A propos…
    Un long blabla !… Depuis quelques années, la science étudie l'origine neurobiologique – et donc les raisons de l'usure – de nos sentiments. Voici une version romancée de ce que l'on sait aujourd'hui sur le plus mystérieux des appels. Rêvons un peu. Imaginez une histoire d'amour digne des contes de fées : passion dès la première rencontre, mariage, enfants et vie heureuse ensemble jusqu'à la mort. Malgré les tribulations du couple moderne, ce rêve ne reste-t-il pas un idéal pour beaucoup ? Et pour cause ! Il représente exactement ce que la vie attend : se reproduire et durer. Bien sûr, vous avez votre libre arbitre et la possibilité de changer le film à tout moment. Mais la cascade d'hormones à l'oeuvre dans votre organisme fera tout pour que vous suiviez ce scénario. Les phéromones : la rencontre des cerveaux reptiliens Dès la première rencontre, à votre insu, votre corps et celui de votre partenaire ont échangé de multiples informations. Cela grâce aux fameuses phéromones, ces composés volatils hérités de votre passé reptilien, et qui en disent long sur vous. Echappées de glandes situées sous les aisselles, autour des organes génitaux et des mamelons, vos phéromones ont atteint l'autre en plein organe voméronasal, une glande logée sous le nez et directement reliée au bulbe rachidien. C'est donc à son cerveau le plus archaïque qu'elles ont transmis votre empreinte olfactive, personnelle et unique... Et vous parlerez un jour de vos « atomes crochus » ! Les femmes semblent d'ailleurs les mieux armées pour les décoder. Selon « l'expérience du tee-shirt » d'une étude, vous seule, savez choisir à l'odeur – si l'on peut dire, car les phéromones sont inodores – le partenaire dont le profil immunitaire s'avère, génétiquement, le plus favorable à votre union. La phényléthylamine : la montée d'euphorie Puis le coup de foudre survient. Son regard ! Son sourire ! Quelque chose fait tilt, réveillant une impression de plaisir enfouie au plus profond de votre mémoire affective. Vous frissonnez, vous rougissez, votre coeur s'accélère. Elle vous trouve presque brillant, il vous découvre piquante. Normal : une décharge d'adrénaline a activé vos fonctions cérébrales, vous mettant au mieux de votre forme. Et si la faim vous quitte, si l'euphorie vous gagne, c'est l'effet de la phényléthylamine (ou PEA), une amphétamine encéphalique naturelle produite au coeur du système limbique, siège de l'affectif – on la trouve aussi dans le chocolat. Sensation de plaisir à nulle autre pareille : énergie des grands jours, sentiment d'allégresse, exultation, exaltation ! Mais l'effet ne dure pas. Vite, une autre dose ! Vite, lui téléphoner, lui parler, se revoir. Hélas, à force, vos récepteurs neuronaux saturés perdent leur capacité à répondre. Si vous êtes comme don Juan, accro à la PEA, et donc à l'excitation de la conquête, vous ne sentez plus rien. La sexualité n'y suffit pas non plus, malgré les aspects bénéfiques du ballet hormonal qu'elle sait si bien déclencher. Peu à peu, son corps vous fait moins vibrer. Vous sentez poindre « l'effet Coolidge » ! Votre désir n'est pas mort, simplement, vous l'éprouvez... pour d'autres ! L'ocytocine l'attachement émotionnel Mais la nature vous propose un autre cocktail, plus émotif, plus durable : dopamine, bien sûr, neurotransmetteur du bonheur et hormone tonifiante à large spectre, mais aussi vasopressine et, surtout, ocytocine, élue « miss hormone » de l'amour ! Elle mérite bien ce titre. Un câlin la déclenche, mais aussi le son de la voix aimée, une pensée amoureuse ou un simple regard. Projetée massivement dans l'organisme lors du premier rapport amoureux, l'ocytocine est également responsable des contractions pendant l'accouchement. C'est l'hormone du premier attachement, de la première empreinte, son taux augmente dans votre organisme lorsque vous vous sentez en confiance. C'est enfin la première hormone à avoir montré que sa production pouvait avoir des causes physiologiques aussi bien qu'émotionnelles. Elle vous liera affectivement l'un à l'autre comme vous l'avez été à votre mère. Quant au cocktail, toujours varié, il vous accompagne depuis l'orgasme jusqu'au repos, et vous incite à de nouveaux projets : une relation durable, des voyages en commun, un enfant... Faut-il donc que ça change toujours ? Pour rester amoureux, il faut en tout cas garder une dynamique. Avec le temps, l'accoutumance neuronale entraîne une baisse de la dopamine, le plaisir d'être ensemble devient alors moins intense – comme tout plaisir. Pour le raviver, faites parler votre imagination, réveillez votre créativité ! L'ocytocine peut revenir à tout moment, pour peu que vous sachiez rallumer la flamme. Dans notre conte, qui finit bien, vous saurez passer le cap. Vous entrerez alors, avec votre complice à vos côtés, dans les eaux riantes de l'amour mûrissant, grâce à la sérotonine, hormone du sommeil et de la régulation de l'humeur et, pour les neurobiologistes, socle du véritable attachement. Le mâle aime le nouveau L'expérience est simple : prenez un rat mâle, présentez-lui une femelle, il se jettera dessus, puis s'en lassera. Présentez-lui alors une nouvelle femelle et son rut repartira de plus belle ! Jusqu'à l'épuisement, tant que vous lui présenterez des femelles nouvelles ! C'est l'effet Coolidge, qui doit son nom à l'une de ces anecdotes dont les scientifiques usent pour marquer les esprits. L'affaire remonte à la visite d'une ferme modèle par le couple présidentiel américain, dans les années 1920. Madame Coolidge, invitée la première à visiter le poulailler, découvre l'exceptionnel appétit sexuel du coq. « Dix fois par jour ? s'étonne-t-elle. Vous devriez raconter ça à mon mari ! » Peu après, c'est au tour du Président. « Dix fois par jour, avec la même poule ? » demande-t-il. Informé de la réponse – négative – il s'exclame : « Vous devriez raconter ça à ma femme ! » L'expérience, quant à elle, ne dit pas si l'effet Coolidge, confirmé chez le cochon d'Inde, le taureau, le buffle, le bélier, le porc, le sanglier et le chat, s'applique aussi aux humains. Bien à vous très chère Isag. Armanny
    3
    Serge
    Vendredi 31 Août 2007 à 22:01
    Salut Pupuce.
    Bon retour parmis nous.J'ai hate de te retrouyver sur MSN.Maintenant je peux le dire que je n'ai pas trouvé comment remplacer Pupuce par un surnom idoine.pour l'instant tu resteras Pupuce si ca ne derange pas tes lecteurs et toi.Promis je cherche qq chose pour ne pas t'appeler Elodie.Te rappelles-tu au tout debut,j'avais confondu Elodie et Melody.Voila,j'ai trouvé,tu seras ma "Melody Nelson".Pas de bisous pour Pupuce mais 4 à la bretonne pour Melody.@+ Melody.Je viens d'enterrer Pupuce.7282
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